LES CAFES
LIEUX DE RENCONTRE
ACPM 1994-48
Les cafés sont des lieux de
rencontre privilégiés surtout avant l’apparition de la télévision.
Les associations ont leur siège dans les cafés et même, avant la
construction de la mairie en 1839, les réunions du conseil municipal s’y
tiennent en alternance avec le local du four communal.
Les cafés sont nombreux et leur fréquentation a lieu seulement avant et après les repas du soir (souper). Les cafés sont fermés la journée car les tenanciers ont d’autres occupations. Au début du siècle, cinq cafés existent au village : Le Café du Progrès sur le Cours Jean Jaurès est le seul qui subsiste. Le Café du Midi situé à l’emplacement de la salle des Garrigues, Cours Jean Jaurès, cesse son activité en 1971 lorsque la bâtisse est acheté par la mairie. Le Café de Paris situé derrière la mairie au 14 place de la Mairie, ferme ses portes dans les années 20. Le Grand Café sur le Cours Jean Jaurès en lieu et place du magasin Radiola, ferme en 1920 environ. Il appartient alors à la famille Monbel, et Charles Monbel dit LE « Grand Charlet » le tient jusqu’à son départ à la guerre 14-18.A ce café avant la guerre les jeunes clients s’abonnent à la semaine, ce qui donne droit à un certain nombre de consomma-tions. La Maison du Peuple située au bas de l’avenue de la gare à l’emplacement du Rouet Fleu-ri. Il a fermé pendant la guerre 14-18. Précédemment au siècle dernier d’autres cafés existent - dans les années 1890 au 13 de la rue
Pasteur En plus du Café du Progrès, seul détenteur d’une licence IV, récemment deux établissements de licence III, ont ouvert leurs portes : l’Estocade sur la Place Belle Croix et le Dry sur le Cours Jean Jaurès.
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CARNAVAL
1926-1939
ACPM 1994-64 65
BOMBARDEMENT DE MANDUEL
12 Juillet 1944
ACPM 1994-71
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